Professeur titulaire
Docteure en Sciences de l’Activité Physique et du Sport.
Professeure de Biomécanique et Motricité à l’Universidad Europea de Madrid depuis 1997.
Groupe de recherche : Exercice, Santé et Biomarqueurs Appliqués (ESBIDA).
Lignes de recherche :
Auteure de 13 publications scientifiques et 14 collaborations dans des ouvrages.
Un sexennat de recherche.
Coordinatrice clinique du programme VENCE (Vive Entrena Cáncer Enfrenta) de la Fundación de la Universidad Europea de Madrid.
Nous avons comparé les effets de deux interventions simultanées d'entraînement supervisé chez des survivantes du cancer du sein présentant une fatigue liée au cancer au début de l'étude. Les deux interventions ont duré 16 semaines et comprenaient les mêmes exercices de résistance, mais la composante aérobique était supervisée et plus intense dans le premier cas, c'est-à-dire que l'évaluation de l'effort perçu était de 7-8 (intensité élevée) contre 6 (intensité modérée) sur une échelle de 1 à 10.
L'objectif de l'étude était de comparer l'adhésion à un mode de vie sain 6 mois après avoir terminé une intervention à plusieurs composantes avec une activité physique virtuellement supervisée pendant la pandémie de COVID-19 par rapport à une intervention à plusieurs composantes avec un exercice physique supervisé en face à face avant la pandémie de COVID-19 chez des employés d'université ayant des habitudes malsaines et prédisposés à changer. La pandémie de COVID-19 chez les employés d'université ayant des habitudes malsaines et prédisposés à changer.
L'objectif de cette étude était d'analyser l'efficacité des interventions d'exercice physique sur le lieu de travail sur la composition corporelle (CC).
La conclusion est que les interventions d'exercices sur le lieu de travail les plus efficaces pour améliorer la composition corporelle sont une combinaison d'exercices d'aérobic et de musculation d'intensité modérée supervisés pendant au moins 4 mois.
L'objectif de ce projet est d'étudier l'effet d'un programme d'exercice télématique chez des patients ayant subi une transplantation allogénique, à la fois avant et après l'intervention. L'hypothèse de ce projet est qu'une intervention d'exercice physique avant la transplantation améliore la qualité de vie et la composition corporelle dans les périodes pré- et post-transplantation par rapport au groupe de contrôle.
Ce projet s'inscrit dans la continuité de la principale ligne de recherche du groupe ESBIDA, qui a commencé à analyser l'efficacité des interventions en matière d'exercice physique chez les patients pédiatriques atteints de mucoviscidose en 2009. Cette étude permettra d'obtenir des données longitudinales en suivant 45 adultes qui ont participé à des projets précédents pendant leur enfance, ce qui permettra en outre d'analyser le pronostic de la maladie.
L'objectif principal de cette étude est d'obtenir des preuves de l'impact d'une intervention simultanée d'exercices de force et de résistance sur la densité minérale osseuse et la sclérostine.
En outre, elle analyse l'influence de ces exercices sur la composition corporelle, la capacité cardiorespiratoire, la force et différents biomarqueurs sanguins.